Les microplastiques sont mauvais pour l'environnement. Ils affectent surtout les océans et la biodiversité. Ils provoquent également une altération de l’eau et de la qualité des sols. C'est pourquoi la ministre fédérale de l'Énergie, de l'Environnement et du Développement durable de l’époque, Marie Christine Marghem, et Detic, l'association des producteurs et des distributeurs de cosmétiques et de détergents ont conclu un accord sectoriel visant à éliminer les microplastiques d'une série de produits, en premier lieu les microbilles dans les cosmétiques à rincer et les dentifrices.
Les microbilles sont de particules de plastique relativement grandes qui sont ajoutées à des produits tels que les gommages et les dentifrices pour leur action abrasive.

Cet accord oblige également à suivre les avancées scientifiques et technologiques et, au besoin, à prendre des mesures. Une communication active et l'encouragement des entreprises à remplacer les microplastiques par des solutions alternatives font partie de l'accord.