De nombreuses instances de la gouvernance internationale se sont penchées sur la problématique du déclin des abeilles domestiques et sauvages et sur leurs potentielles conséquences pour le bien-être humain.

Le principal instrument de politique internationale en cette matière est la Convention sur la Diversité Biologique et son « Initiative internationale de la conservation et l’utilisation durable des pollinisateurs ». D’autres organisations se sont emparées de cette question et mènent des initiatives complémentaires. On peut citer, notamment, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).